Gens de chez nous !Saint-Pamphile

Jean-Claude Leclerc policier à la SQ pendant plus de 25 ans !

Par Marie-Ève Francoeur le .

Aujourd’hui nous survolons le parcours de Jean-Claude Leclerc, fils de monsieur Réjean Leclerc et de madame Rose Blanchet de Saint-Pamphile. Il est le dernier de cinq enfants; Carole, Serge, Roger et Réjeanne le précèdent. Après son primaire, pour une raison qu’il ignore encore à ce jour, ses parents décidèrent de l’envoyer au collège Sainte-Anne de La Pocatière (CSA) pour qu’il y fasse ses études secondaires.  Moi je pense que c’était probablement pour calmer les ardeurs de ce jeune garçon énergique, curieux et pour lui donner toutes les chances de réussir.

Durant ses années de pensionnat, il  dit cependant avoir appris beaucoup : à s’adapter, à devenir autonome, en plus de créer des liens d’amitié solides. C’est à la 3e année de son secondaire qu’il décide qu’il deviendra policier. Il occupe plusieurs emplois étudiants; il fut gardien de dortoir de secondaire 3 à 5 au collège Sainte-Anne de La Pocatière, livreur pour le restaurant « Chez Réjean » les fins de semaine, remplaçant du livreur de pain Régis Gagnon pendant les vacances d’été et barman à l’hôtel Coronet. Il a souvent occupé plus d’un emploi en même temps.

À la fin de son secondaire, il fait sa technique policière à Rimouski. Pendant ses études collégiales, il travaille comme agent de sécurité à l’hôpital de Rimouski et constable spécial pour Hydro Québec.  Par la suite, passage obligé de 14 semaines à Nicolet à l’École nationale de police du Québec.

Jean-Claude est engagé par la Sûreté du Québec en 1991. Jusqu’en 2001 il est patrouilleur à Saint-Joseph de Beauce. De 2001 à 2004, il fait partie de l’escouade du crime organisé comme enquêteur aux drogues. En 2004, la sûreté fait une restructuration des enquêteurs, alors jusqu’en 2018, il travaille à Québec, enquêteur au crime majeur. C’est après 27 ans ½ de service qu’il prend sa retraite en 2018. Il ne regrette rien, il dit n’avoir jamais trouvé une journée longue, et m’assure qu’il respecte toujours le code de la sécurité routière.

En début de carrière, Jean-Claude s’établit à Sainte-Marie où il habite toujours. Il travaille quelques jours par mois pour une imprimerie, il est margeur (il alimente la presse en papier) et fait la livraison à travers la province d’une revue de publicité industrielle faite par cette même compagnie. Ce petit boulot lui fait voir du monde et c’est très différent de son travail de policier/enquêteur.

Il possède un chalet dans la région où il vient régulièrement passer du bon temps, il caresse le projet de revenir s’établir dans le coin.

Du bon temps au chalet. 

Jean-Claude a une fille, Mariane. Elle étudie à Québec pour devenir comptable professionnelle agréée (CPA), elle travaille aussi comme comptable chez Blanchet Vachon, société de comptables professionnels à Sainte-Marie de Beauce.

En 2022, lors de la graduation de sa fille Mariane en gestion et compatibilité.

Merci Jean-Claude, bonne continuation, les projets, c’est la santé !