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Les sentiers de raquettes de Saint-Pamphile

Par Diane Bérubé le .

Les sentiers se situent entre l’avenue Vaillancourt, l’école secondaire La rencontre et les terres de Marcel Bélanger, dans le rang Double.

Deux entrées donnent accès aux pistes : l’une par l’avenue Vaillancourt, au départ du ski de fond, l’autre est à l’arrière de l’aréna.

Le réseau s’étale donc sur les propriétés de Jean-Yves Blanchet, Gilles Bourgault, la Ville de Saint-Pamphile et Clément Miville et fait des incursions chez Marcel Bélanger et Sylvain Pelletier c’est-à-dire que, sur une superficie d’environ 2 kilomètres carrés, une quinzaine de sentiers distincts font un total de plus d’une dizaine de kilomètres. Ils croisent régulièrement la piste de ski de fond déjà connue, mais sans lui nuire. Les abords des sentiers sont suffisamment nettoyés pour que les parcours soient magnifiques. Les raquetteurs qui désirent des circuits courts, comme ceux qui veulent faire du cardio, y trouvent aussi leur compte.

Sécurité

Pour les non-habitués du terrain et pour la sécurité de tous, les sentiers ont été balisés, nommés et cartographiés. Les ambulanciers possèdent un plan de l’ensemble et les téléphones cellulaires entrent bien dans ce secteur. Des plans sont disponibles à l’entrée de la rue Vaillancourt et affichés à différents carrefours. Le long des parcours, des rubans de couleur indiquent aux marcheurs la direction à prendre.

Les propriétaires ne sont pas responsables des accidents et la visite du lac Jos.-H.-Blanchet est interdite.

Historique

Il y a toujours eu un certain nombre de raquetteurs et de sentiers dans ce secteur. Il n’y a pas de comité ni d’organisation, sinon des amateurs de plein air qui, à force de passer et de nettoyer les sentiers, ont construit le réseau.

Avec le consentement de la Ville et l’autorisation renouvelée des propriétaires — que nous remercions —, les choses se sont accélérées. Et voilà qu’une question se pose pour le secteur appartenant à la Ville : y a-t-il dans la population des personnes qui ont le temps et le désir de s’investir bénévolement pour aller plus loin, dans un projet de sentier pédestre, par exemple, et pourquoi pas dans un projet de parc ? Un projet bon pour la santé, bon pour le milieu et bon pour sortir des sentiers battus.

Edmond Ledoyen, Saint-Pamphile

Un groupe de petits lutins profitant des sentiers de raquettes.